giovedì 17 febbraio 2011
Trois jours après en ouvrant les yeux Odile et Frantz aperçurent la mer. Elle ressemblait à un théâtre, le théâtre dont la scène se situait exactement à l'horizon au delà il n'y a plus que le ciel. Devant cette harmonie qui se propageait doucement en vastes ondes Franz et Odile n'aperçurent tout à coup ni limites ni instructions.
Cette fois, c'est le moment d'ouvrir une deuxième parenthèse et de décrire les sentiments des personnages. Arthur regarde sans arrêt ses pieds, mais il pense à la bouche d'Odile, à ses baisers romantiques. Odile se demande si les deux garçons ont remarqués ses deux seins, qui remuent à chaque pas sous son chandail. Franz pense à tout et à rien.
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