giovedì 17 febbraio 2011

Mon histoire finit là, comme dans un roman bon marché, à cet instant superbe de l'existence où rien ne décline, rien ne dégrade, rien ne déçois.

Trois jours après en ouvrant les yeux Odile et Frantz aperçurent la mer. Elle ressemblait à un théâtre, le théâtre dont la scène se situait exactement à l'horizon au delà il n'y a plus que le ciel. Devant cette harmonie qui se propageait doucement en vastes ondes Franz et Odile n'aperçurent tout à coup ni limites ni instructions.

La vie me dégoute

C'est sous les ciels de cristal qu'Arthur, Odile et Franz traversèrent des ponts suspendus sur des fleuves impassibles. Rien ne bougeait encore au front des palais. L'eau était morte. Un goût de cendre volait dans l'air.

Cette fois, c'est le moment d'ouvrir une deuxième parenthèse et de décrire les sentiments des personnages. Arthur regarde sans arrêt ses pieds, mais il pense à la bouche d'Odile, à ses baisers romantiques. Odile se demande si les deux garçons ont remarqués ses deux seins, qui remuent à chaque pas sous son chandail. Franz pense à tout et à rien.

Une idée effleura Odile comme un mauvais nuage qui d'ailleurs passa: l'idée qu'Arthur la regarderais toujours de cette façon un peu comme si elle était une ombre à travers laquelle il eût voulut voir comme si le jeune homme et la jeune fille eussent déjà été séparés par un océan d'indifférence

Ici on pourrait ouvrir une parenthèse et parler des sentiments d'Odile, de Franz et d'Arthur, mais, après tout, tout est déjà assez clair, mieux vaut donc laisser parler les images et fermer la parenthèse